
Voyage de rêve, rêve de voyage alors ...
- Alexandre FESSY
- 20 mai
- 2 min de lecture
Et si voyager n'était pas une destination, mais une intention ?
Et si le rêve ne commençait pas après avoir réservé un billet, mais bien avant — dans l’élan même de l’envie ?
Ce billet est une invitation au voyage intérieur, au rêve éveillé, à cette transformation unique que seul un départ — réel ou symbolique — peut provoquer.
1. Le rêve comme point de départ
Avant tout voyage, il y a un rêve.
Un appel. Une image. Une émotion.
C’est le cœur qui dessine les premiers contours, bien avant que les pieds ne foulent un sol inconnu.
Il ne s'agit pas de savoir où aller, mais pourquoi partir.
> Le rêve est le moteur du voyage, pas sa conséquence.
2. Voyager pour se trouver, se perdre, renaître
Partir, c’est parfois fuir.
Mais en Fessylosophie, on ne fuit pas : on transforme.
Chaque voyage est une opportunité de se rencontrer dans un ailleurs, où l’on n’est plus limité par les habitudes ou les étiquettes.
On se perd pour mieux se retrouver.
On quitte pour mieux revenir.
On vit pour mieux rêver.
3. Le rêve, carburant du quotidien
Et si tu faisais de chaque jour un voyage ?
Pas besoin de frontière ni de visa : juste d’un regard neuf.
Un trajet vers une version plus lumineuse de toi-même.
Le rêve n’attend pas le billet d’avion : il commence ici, maintenant, dans ta capacité à croire, à projeter, à oser.
> Voyager, c’est offrir à son âme de l’espace pour respirer.
Alors ?
Voyage de rêve, rêve de voyage… alors ?
Alors ne rêve plus ta vie : vis ton rêve.
Pars. Ou reste, mais pars à l’intérieur de toi.
Car le plus grand des voyages commence toujours par un premier pas…
Vers toi.
Pensée Fessylosophique
Le rêve est une destination invisible que seul ton courage peut rendre réelle. Ne cherche pas le chemin : trace-le.
— Alexandre Fessy
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